samedi 16 août 2008

Premières impressions...

Le pied foulant le tarmac de Narita, aéroport situé à l'est de Tokyo, à 07:55 du matin heure locale (7 heures de décalage avec la France et la Suisse), voici le duo John Walch - Flavien Aubelle arrivant enfin au bout d'un long périple de 14 heures de voyage.

N'ayant pas dormi dans l'avion, c'est avec une nuit blanche et pas très frais que débarquent nos deux joyeux lurons au pied du Japon, pays des sushis et du riz. (comment ça, je suis cliché ?)

Vous épargnant quelques cinglants détails sur notre première journée, composé principalement de la recherche de la guest house de John sous une chaleur accablante de plus de 30 degrés avec des valises au poids Kafkaïen (je sais que ça ne veut pas dire grand-chose, mais le mot kafkaïen est tellement cool, je devais bien le placer quelque part), je vais vous livrer mes premières impressions (les plus malins d'entres vous ayant retenu le titre de l'article savant que j'allais en arriver là).

Grouillant de monde, extravagance, buildings gigantesques, mini-jupes, repas à 3 francs, respect, technologie et oppressant de chaleur.

Voilà, les mots sont lancés. Le plus étonnant est, en mon sens, le côtoiement d'une facade technologique très poussée (buildings immenses, écrans géants, gadgets à tout va) et de certains lieux respirant le calme et la simplicité.



A votre gauche, Shibuya, quartier très vivant avec en son centre le plus grand carrefour piétonnier du monde.

Dans cette place trône la statue d'Hachikô, chien célébre pour avoir attendu son maître devant la gare de Shibuya comme à son habitude durant 10 ans après sa mort d'une crise cardiaque.

Une chose remarquable (dans les deux sens du terme) est la gentillesse et la politesse des japonais. On m'a toujours dit que les japonais étaient plutôt gentil par devant, et xénophobe par derrière, et bien pour l'instant ça me va très bien, et je n'ai aucune raison de me plaindre.



Joueurs de Pachinkos.
De nombreuses salles d'arcades, sur plusieurs étages souvent, agrémentent l'esprit de Tokyo, avec des jeux aussi divers que variés.
Néons lumineux, tenancier criard, rien n'est de trop pour appâter le chaland.

Autre point : on est en été, ça se ressent, et ça se voit. Il fait très chaud, très lourd. Dès 7 heures, ça tappe fort (plus tôt, je ne sais pas encore, je n'étais pas debout).

Transition vers le côté vêtement. L'extravagance est de rigueur, et je pense que je verrai une femme d'1m90 affublé d'oreilles de lapin, et vêtue d'un tablier blanc sur une robe rose, violette, et vert aux froufrous multiples, que je ne détournerais même pas les yeux de ma route.
Niveau femme, c'est la provocation qui remporte la palme.


Je met une photo pour les yeux, et encore, la mini-jupe exposé ici est trois voire quatre fois plus longue à ce que l'on peut voire habituellement...

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